LA VALSE AVANT LA NUIT (CENT PAGES, 1991) [4 hommes, 1 femme – 90 mn]
Juin 1916. Le lieutenant Philippe d’Ambrémont a été blessé à Verdun et sauvé par un tirailleur sénégalais qu’il vient présenter à sa fiancée avant de retourner au front.
"Le texte de Benoît Marbot est à la hauteur de ses ambitions. Le thème est grave, l'émotion toujours présente. Les comédiens, tous excellents, sont pénétrés de leurs personnages."
Pascal Lainé L'EVENEMENT DU JEUDI
"Un sujet grave et tendre développé dans une langue très belle. Ce très beau spectacle a révélé un auteur dramatique de grand talent." Nathalie Viel FAMILLE CHRETIENNE
« D'une écriture ciselée, l'auteur nous livre ici une pièce où la langue est belle et simple comme une rivière qui coule mais qui n'en est pas moins l'instrument d'une diatribe contre la morale bourgeoise de l'époque. Le paradoxe est que, malgré la gravité du sujet qui ne manque pas de soulever notre indignation, il y a une légèreté, une vivacité dans la pièce qui nous font sourire et rire même si c'est d'un rire grinçant... »
Dominique Debeauvais LA REVUE DU SPECTACLE
« Benoît Marbot a écrit une pièce douce-amère, toute en demi-teintes. Un texte simple, fluide et lucide. [...] Les comédiens sont tous excellents.[...] Un spectacle à voir absolument. »
Simone Vidal L'AMI DU VINGTIEME
« Un moment de théâtre tour à tour comique et dramatique, toujours savoureux. »
Ariane Poisonnier AFRIQUE MAGAZINE
« Ceux qui disent qu'il n'y a plus d'auteur devraient aller voir La Valse avant la nuit. Le plaisir est immense. Marbot écrit dans la tradition française, attentif à la structure linéaire de sa pièce, à l'atmosphère, à la situation et à la vérité psychologique de ses personnages. C'est beaucoup déjà. Mais en plus, Marbot a quelque chose à dire de l'homme, de la société, de son pays. Les comédiens sont excellemment choisis. On sort heureux."
Jean-Luc Jeener LE FIGARO
« Avec cette Valse avant la nuit, Benoît Marbot écrit et met en scène une comédie désabusée et tendre, solidement charpentée. Les cinq comédiens jouent ensemble une partition légère et vinaigrée. Une résurrection magnifique d'une forme théâtrale qu'on avait enterrée un peu vite. »
Jean-Louis Châles LE PROVENCAL